Ce filtre sensoriel permet au chien de distinguer les stimuli habituels normaux auxquels il n’est pas censé réagir de ceux, inhabituels, auxquels il doit réagir (prédateur potentiel, danger, etc). Lorsque ce filtre est de mauvaise qualité, il peut conduire à un syndrome de privation (peur vis-à-vis de stimuli inconnus) ou à un syndrome HS-HA (excitation vis-à-vis de stimuli normaux de l’environnement comme un brin d’herbe par exemple).