Une récente étude (Lin CH, Veterinary Medicine and Sciences, 2020) concernant l’impact de la pollution de l’air sur les maladies respiratoires du chien et du chat a été publiée. L’étude s’intéresse au rôle des particules fines (fumée de tabac, produits combustibles divers, composés organiques volatils, …) sur des chiens et des chats souffrant de maladies respiratoires. Chez le chat, leur rôle n’est pas corrélé avec la gravité des signes cliniques. En revanche, l’étude permet aux auteurs de conclure que, chez le chien, une qualité médiocre de l’air (telle que la présence importante de composés volatils dans l’air intérieur au niveau des zones les plus fréquentées par les animaux) peut exacerber les maladies respiratoires.

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